COOPÉRATION :

RECONNAISSANCE DES HAUTS CADRES EN VERS LEUR PAYS

Le Président du Conseil Militaire de Transition, Président de la République, Chef de l’Etat, le Général de Corps d’Armée MAHAMAT IDRISS DEBY ITNO, a accordé ce vendredi, deux audiences à deux fils du Tchad, promus dans des organisations internationales. Il s’agit M. Abderahim Brémé Hamid, reconduit à son poste de Secrétaire exécutif de l’Autorité du Bassin du Niger et M. Abakar Walar Modou qui vient d’être élu président de la Ligue des Oulémas et Prédicateurs du Sahel.       

Le tchadien Abderahim Brémé Hamid, rempile pour un deuxième mandat à la tête du Secrétariat exécutif de l’Autorité du Bassin du Niger. Une reconduction pas du tout offerte sur un plat. C’est le résultat du travail qu’il a accompli à la tête de cette institution mais aussi le travail acharné au plus haut niveau, conduit des mains des maitres par le Président du Conseil Militaire de Transition, Président de la République, le Général de Corps d’Armée MAHAMAT IDRISS DEBY ITNO. Le Chef de l’Etat qui s’est déplacé le 03 juin dernier à Abuja lors du sommet ayant acté la reconduction  de Abderahim Brémé Hamid, est aujourd’hui remercié par son compatriote, qui ne s’est pas empêché de lui faire le point sur les projets au profit du Tchad.

Dr Abakar Walar Modou fait aussi parler du Tchad à l’international. Il vient d’être porté à la tête de la Ligue des Oulémas et Prédicateurs du Sahel. Cette organisation regroupe 10 pays de la bande sahélienne. Il a tenu à annoncer personnellement cette nouvelle au Président du Conseil Militaire de Transition. Accompagné du Président du Conseil supérieur des Affaires Islamiques du Tchad, celui qui succède au nigérian Pr Ahmat Mourtada, dit avoir reçu du Président de la République des conseils avisés à même de l’aider à faire de son mandat un succès total.

Dr Abakar Walar Modou compte placer son mandant de trois ans sous le signe de la formation et la mobilisation des femmes et des jeunes. Les Oulémas et prédicateurs ne peuvent pas faire cavalier seuls, confie-t-il, estimant que la lutte contre l’extrémisme violent est avant tout une œuvre collective.